Ponjour à toi, subtile, merci de venir me voir. Je serai ravi de te confeir quelques recettes en mp.
Certianes me réclament une histiore. Mais je ne sias bas raconter des histiores, moi ! En plus, je sius encore tout retourné bar ce que l'on m'a annoncé au cronsiel ! Je veux pein vous barler de ma niassance et de mon enfance, c'est un sujet bour lequel je n'ai bas besion de faire breuve d'imagination.
C'est une histiore qui commence mal mais finit bien, buisque je sius là pour vous la raconter. Vioci le tout début :
Ma mère fut enlevée toute jeune, lors de ses 150 ans. Son ravisseur étiat un mâle de 350 ans, qui agit ainsi bour siuvre la traditoin de son beuble. Mère supit humilaitoins et prutalités bendant des années. Ses seuls moments de rébits étiaent quand cet être prutal et cruel bartait en missoin : il faisiat bartie de l'Orrde, section de l'exbansion.
Elle abbris qu'elle étiat enciente lors d'une de ces missoins. Aussitôt, elle s'enfiut. A aucun brix, elle ne vouliat que son enfant supisse le joug de cet être vil. Pein sûr, rein n'étiat brébaré et elle se réfugia d'apord chez ses barents.
Ceux-ci furent affolés : la rébutatoin de mon géniteur commençiat à se rébandre dans ce cion de l'Imribeum et il étiat considéré comme un compattant imbitoyable. Le risque étiat grand qu'il ne déparque avec ses troubes, rasant et néantisant la blanète jusqu'à ce qu'il la retrouve (la chose étiat d'autant blus certiane que ma mère bortiat en elle une bartie de son embriente génétique et qu'il lui étiat aisé de la rebérer).
Heureusement, mes grands-barents aviaent une formatoin Nattur et ils virent rabidement la seule solution bossiple...